What is mean "ferme la bush"?

Answers

Answer 1
Answer: 'Fermé la bouche': It means "keep silence" , or to say it bluntly "shut up!"
Answer 2
Answer: ferme la bush : closes the bush

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How to say wrong in french

Answers


Wrong (English) = Mal (French)
We say mal (wrong) in french

Choose the correct answer for the problem shown below

Answers

Jetons.....................

Bonjour

verbe JETER

je jette

tu jettes

il/elle/on jette

nous jetons   ====> CORRECT

vous jetez

ils/elles jettent

☺☺☺

Write a paragraph on what you wear to school xxx

Answers

Answer:

Very good question

Explanation:

School uniforms should definitely be used in school systems.

Uniforms are both good for schools as well as for the students. Wearing uniforms will help build a sense of unity within the school. Instead of everyone as a separate team, everyone will be in the same team. Wearing uniforms will help free students of the stress of what to wear in the morning. Wearing school uniforms will help improve student individuality and improve their self-esteem. First, wearing matching uniforms can make students feel equal. Poor students would no longer feel excluded because they are not wearing name brand clothes like the richer kids. Kids sometime tease each other because of the brand of clothes that they wear.

In French how to say when I was younger I didn't think much about the future (in the imperfect)

Answers

Yasss! I love French. Oh, I need to answer. (LOL) When you write, "When I was younger, I didn't think much about the future (in the imperfect)", you write it like this: 
Quand je étais plus jeune, je ne pense pas beaucoup à propos de l'avenir.(à l'imparfait)
"Quand j'étais plus jeune, je pensais pas de l'avenir."

Also, instead of saying "de l'avenir", you can say "au futur"

Good luck.

How to say in French: Hello

Answers

Hello in French is Bonjour. 
Bonjour or Salut are both ways of saying Hello in French.

____ maisonette.
Le
La

Answers

La (feminine form) is the answer I believe

Bonjour



La maisonnette = feminine noun


La maison = the house

La maisonn/ette = the little house


The suffix -et (masculine), -ette (feminine) are used to form a smaller form of sthg, of a name (smaller than)


examples =

- le garçon (the boy)= --> le garçonnet (the little boy : masculine = suffix -et)

- la fille (the girl)          -> la fillette  (the little girl : feminine /suffix -ette)

- le  château (the castel) -> le châtelet  (the little castle : masculine = suffix=     -et

- la maison (the house) --> la maisonnette (the little house)


hope this helps ☺☺☺



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Texte B Flaubert, L’éducation sentimentale (1869)L’Éducation sentimentale est un roman de Gustave Flaubert, paru en 1869. L’histoire débute en 1840. Audébut, Frédéric Moreau, personnage principal, n’a que 18 ans. Récemment bachelier, il quitte provisoirementParis pour Nogent-sur-Seine, où il va retrouver sa mère. Il fait le voyage en bateau (bateau appelé La Villede Montereau) sur la Seine. C’est sur ce bateau qu’il rencontre Madame Arnoux, une femme mariée, mèrede deux enfants, plus âgée que lui, dont il tombe éperdument amoureux au premier regard. Désormais, il nepensera plus qu’à elle. Revenu à Paris pour y commencer des études de droit, il n’a qu’une idée : la revoir.Frédéric est un jeune homme velléitaire et rêveur. Rien de ce qu’il entreprend ou vit ne l’intéresse vraiment :ni ses études, ni ses amitiés, ni ses aventures amoureuses, ni la situation politique parisienne... Il a pourtantune assez haute idée de lui-même, comme le mentionne le narrateur dans l’incipit : Frédéric « trouvait que lebonheur mérité par l’excellence de son âme, tardait à venir ». Son désenchantement progressif est aussi celuide toute une génération de jeunes gens romantiques. Dans ce passage du chapitre 5 de la première partie,Frédéric vient d‘apprendre l’absence de Madame Arnoux qui est partie en province.Regard de Frédéric sur ParisAlors commencèrent trois mois d’ennui. Comme il n’avait aucun travail, son désœuvrement renforçait satristesse.Il passait des heures à regarder, du haut de son balcon, la rivière qui coulait entre les quais grisâtres,noircis, de place en place, par la bavure des égouts, avec un ponton de blanchisseuses amarré contre lebord, où des gamins quelquefois s’amusaient, dans la vase, à faire baigner un caniche. Ses yeux délaissant à gauche le pont de pierre de Notre-Dame et trois ponts suspendus, se dirigeaient toujours versle quai aux Ormes, sur un massif de vieux arbres, pareils aux tilleuls du port de Montereau. La tourSaint-Jacques, l’hôtel de ville, Saint-Gervais, Saint-Louis, Saint-Paul se levaient en face, parmi les toitsconfondus, — et le génie de la colonne de Juillet resplendissait à l’orient comme une large étoile d’or,tandis qu’à l’autre extrémité le dôme des Tuileries arrondissait, sur le ciel, sa lourde masse bleue. C’étaitpar-derrière, de ce côté-là, que devait être la maison de Mme Arnoux.Il rentrait dans sa chambre ; puis, couché sur son divan, s’abandonnait à une méditation désordonnée : plansd’ouvrage, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortait.Il remontait, au hasard, le quartier latin, si tumultueux d’habitude, mais désert à cette époque, car les étudiants étaient partis dans leurs familles. Les grands murs des collèges, comme allongés par le silence,avaient un aspect plus morne encore ; on entendait toutes sortes de bruits paisibles, des battementsd’ailes dans des cages, le ronflement d’un tour, le marteau d’un savetier ; et les marchands d’habits,au milieu des rues, interrogeaient de l’œil chaque fenêtre, inutilement. Au fond des cafés solitaires, ladame du comptoir bâillait entre ses carafons remplis ; les journaux demeuraient en ordre sur la table descabinets de lecture ; dans l’atelier des repasseuses, des linges frissonnaient sous les bouffées du venttiède. De temps à autre, il s’arrêtait à l’étalage d’un bouquiniste ; un omnibus, qui descendait en frôlant letrottoir, le faisait se retourner ; et, parvenu devant le Luxembourg, il n’allait pas plus loin.Quelquefois, l’espoir d’une distraction l’attirait vers les boulevards. Après de sombres ruelles exhalantdes fraîcheurs humides, il arrivait sur de grandes places désertes, éblouissantes de lumière, et où lesmonuments dessinaient au bord du pavé des dentelures d’ombre noire. Mais les charrettes, les boutiquesrecommençaient, et la foule l’étourdissait, — le dimanche surtout, — quand, depuis la Bastille jusqu’à laMadeleine, c’était un immense flot ondulant sur l’asphalte17, au milieu de la poussière, dans une rumeurcontinue ; il se sentait tout écœuré par la bassesse des figures, la niaiserie des propos, la satisfactionimbécile transpirant sur les fronts en sueur ! Cependant, la conscience de mieux valoir que ces hommesatténuait la fatigue de les regarder.Travail d’écriture : commentaire littéraire (14 points)Vous rédigerez un commentaire littéraire de l’extrait B, dans son intégralité, à partir du parcours suivant :Axe 1 : Un regard réaliste et esthétique sur Paris (en fonction des allées et venues ou du regard de Frédéric).Axe 2 : L’ennui