Complete par: tous, rien, toutes, quelque chose.Mon copain adore le camplin ... les ans, il fait des escalades en haute montagne. Il n'a peur de ... Il connait .... les sentiers de la foret. A son retour, il nous reconte .... sortes d'histoires. Nous l'aimons .... Faire des escalades en haute montagne, c'est .... de passionnant. Moi, je ne fais ... pendant les vacances.... J'aime dormir sur le sable chaud comme un lezard.

Answers

Answer 1
Answer: Complète par: tous, rien, toutes, quelque chose.

Mon copain adore le camping TOUS  les ans, il fait des escalades en haute montagne. Il n'a peur de RIEN. Il connait TOUS  les sentiers de la forêt. A son retour, il nous raconte TOUTES  sortes d'histoires. Nous l'aimons TOUS. Faire des escalades en haute montagne, c'est QUELQUE CHOSE de passionnant. Moi, je ne fais RIEN pendant les vacances.... J'aime dormir sur le sable chaud comme un lézard.
Answer 2
Answer: Mon copain adore le camping TOUS  les ans, il fait des escalades en haute montagne. Il n'a peur de RIEN. Il connait TOUS  les sentiers de la forêt. A son retour, il nous raconte TOUTES  sortes d'histoires. Nous l'aimons TOUS. Faire des escalades en haute montagne, c'est QUELQUE CHOSE de passionnant. Moi, je ne fais RIEN pendant les vacances.... J'aime dormir sur le sable chaud comme un lézard. 

Related Questions

Texte B Flaubert, L’éducation sentimentale (1869)L’Éducation sentimentale est un roman de Gustave Flaubert, paru en 1869. L’histoire débute en 1840. Audébut, Frédéric Moreau, personnage principal, n’a que 18 ans. Récemment bachelier, il quitte provisoirementParis pour Nogent-sur-Seine, où il va retrouver sa mère. Il fait le voyage en bateau (bateau appelé La Villede Montereau) sur la Seine. C’est sur ce bateau qu’il rencontre Madame Arnoux, une femme mariée, mèrede deux enfants, plus âgée que lui, dont il tombe éperdument amoureux au premier regard. Désormais, il nepensera plus qu’à elle. Revenu à Paris pour y commencer des études de droit, il n’a qu’une idée : la revoir.Frédéric est un jeune homme velléitaire et rêveur. Rien de ce qu’il entreprend ou vit ne l’intéresse vraiment :ni ses études, ni ses amitiés, ni ses aventures amoureuses, ni la situation politique parisienne... Il a pourtantune assez haute idée de lui-même, comme le mentionne le narrateur dans l’incipit : Frédéric « trouvait que lebonheur mérité par l’excellence de son âme, tardait à venir ». Son désenchantement progressif est aussi celuide toute une génération de jeunes gens romantiques. Dans ce passage du chapitre 5 de la première partie,Frédéric vient d‘apprendre l’absence de Madame Arnoux qui est partie en province.Regard de Frédéric sur ParisAlors commencèrent trois mois d’ennui. Comme il n’avait aucun travail, son désœuvrement renforçait satristesse.Il passait des heures à regarder, du haut de son balcon, la rivière qui coulait entre les quais grisâtres,noircis, de place en place, par la bavure des égouts, avec un ponton de blanchisseuses amarré contre lebord, où des gamins quelquefois s’amusaient, dans la vase, à faire baigner un caniche. Ses yeux délaissant à gauche le pont de pierre de Notre-Dame et trois ponts suspendus, se dirigeaient toujours versle quai aux Ormes, sur un massif de vieux arbres, pareils aux tilleuls du port de Montereau. La tourSaint-Jacques, l’hôtel de ville, Saint-Gervais, Saint-Louis, Saint-Paul se levaient en face, parmi les toitsconfondus, — et le génie de la colonne de Juillet resplendissait à l’orient comme une large étoile d’or,tandis qu’à l’autre extrémité le dôme des Tuileries arrondissait, sur le ciel, sa lourde masse bleue. C’étaitpar-derrière, de ce côté-là, que devait être la maison de Mme Arnoux.Il rentrait dans sa chambre ; puis, couché sur son divan, s’abandonnait à une méditation désordonnée : plansd’ouvrage, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortait.Il remontait, au hasard, le quartier latin, si tumultueux d’habitude, mais désert à cette époque, car les étudiants étaient partis dans leurs familles. Les grands murs des collèges, comme allongés par le silence,avaient un aspect plus morne encore ; on entendait toutes sortes de bruits paisibles, des battementsd’ailes dans des cages, le ronflement d’un tour, le marteau d’un savetier ; et les marchands d’habits,au milieu des rues, interrogeaient de l’œil chaque fenêtre, inutilement. Au fond des cafés solitaires, ladame du comptoir bâillait entre ses carafons remplis ; les journaux demeuraient en ordre sur la table descabinets de lecture ; dans l’atelier des repasseuses, des linges frissonnaient sous les bouffées du venttiède. De temps à autre, il s’arrêtait à l’étalage d’un bouquiniste ; un omnibus, qui descendait en frôlant letrottoir, le faisait se retourner ; et, parvenu devant le Luxembourg, il n’allait pas plus loin.Quelquefois, l’espoir d’une distraction l’attirait vers les boulevards. Après de sombres ruelles exhalantdes fraîcheurs humides, il arrivait sur de grandes places désertes, éblouissantes de lumière, et où lesmonuments dessinaient au bord du pavé des dentelures d’ombre noire. Mais les charrettes, les boutiquesrecommençaient, et la foule l’étourdissait, — le dimanche surtout, — quand, depuis la Bastille jusqu’à laMadeleine, c’était un immense flot ondulant sur l’asphalte17, au milieu de la poussière, dans une rumeurcontinue ; il se sentait tout écœuré par la bassesse des figures, la niaiserie des propos, la satisfactionimbécile transpirant sur les fronts en sueur ! Cependant, la conscience de mieux valoir que ces hommesatténuait la fatigue de les regarder.Travail d’écriture : commentaire littéraire (14 points)Vous rédigerez un commentaire littéraire de l’extrait B, dans son intégralité, à partir du parcours suivant :Axe 1 : Un regard réaliste et esthétique sur Paris (en fonction des allées et venues ou du regard de Frédéric).Axe 2 : L’ennui
I am visiting France as an exchange student, I have already been friends with the girl I am visiting because she came to the U.S. How should I greet her? The side cheek thing? Or hugging?
How do you say i play volleyball in french? Plz answer me
How do you say: 'I'm afraid of heights' in french
How do the French distinguish between a best friend and a friend

En quelle année La Révolution française incite les esclaves?

Answers

Answer:

1794

Explanation:

en quelle annee La Revolution francaise incite les exclaves = What year did Revolutionary France ban slaves. Its 1794

Réponse: 1794 explanation

Fill in the blank in the following sentence with the appropriate hour below.Il est__ heures quinze du matin

A.Vingt
B.huit
C.midi
D.treize

Answers

Bonjour

 

    CORRECT ANSWER = B

Il est huit heures quinze du matin.

It's eight fifteen in the morning. =  8:15 a.m.

-

EXPLANATIONS

A- vingt = twenty = eight p.m. in French...

B- huit = eight a.m.

C- midi = noon

D- treize = 13 = one p.m. in French ...

-

☺☺☺

Bonjour !

Il est "huit" heures quinze du matin.

B. huit (8)

does "Je vais promener mon chien avec mon copain." make sense to say "I am going to walk my dog with my friend."?

Answers

'Je vais promener mon chien avec mon ami' means i am going to walk my dog with my friend in French. hope i helped :)

Elle est allée à l’infirmerie?
Oui, elle ________

Answers

Hello ! ^^

Elle est allée à l'infirmerie ?

→ Oui, elle y est allée.

✘ i hope i helped you ! ✘

bonjour!


oui elle est allée à l'infirmerie


J'espère que ça aide <3

Does aussi go at the beginning or end on the sentence?

Answers

both is possible but it's a slightly different meaning. it's less comparing something but telling something else
In spoken French you can put "aussi" in several places .

Écrivons Crée un panneau pour interdire ou permettre
quelque chose. Ensuite montre-le à tes camarades. Est-ce
qu’ils comprennent ce que ton panneau veut dire

Answers

Answer:

Entrée interdite

Ne pas déranger

Creeks Jae do right see